Mettons en commun nos identités, allons puiser dans nos savoir-faire respectifs et créons.
Créer pour dire ce qui nous arrive, à notre échelle. Convoquer notre mémoire du corps, nos cellules et se rappeler que nous sommes encore capables de construire ensemble des instants fragiles de poésie.
Une poésie spectaculaire comme moyen de fabriquer du rêve commun, une source infinie de reconnexion avec l’ensemble des choses, des êtres, des forces, des besoins.
S’empêcher de glisser vers le pessimisme en fabriquant une résistance commune. Un rituel pour nous mettre toutes et tous au diapason ou tout du moins prétendre à une forme de naïveté, pour nous reconnecter à l’essentiel.